PNUD (le Programme de développement des Nations Unies) a organisé une retraite avec ses partenaires clés dans une station appelée Adulala dans Debra Zeit, près d’Addis-Abeba, en Ethiopie. Cette retraite a eu lieu le 19 au 21 Février 2015, en présence de membre du comité de direction ASC Halima, qui réfléchit sur ses expériences ci-dessous.
Le but de cette retraite, ce est que sur lui-même l’évaluation, le PNUD se est trouvé à être absente ou insuffisante pour atteindre sa clientèle et donc de ne pas avoir l’impact souhaité, il prévu de faire. Afin de résoudre ce problème, le PNUD a décidé de changer sa structure créant ainsi des structures régionales chargées dans différents domaines thématiques.
Cette nouvelle structure régionale traiter avec l’Afrique est basé à Addis-Abeba. Le document de programme régional du PNUD pour le Projet Afrique est appelée “favoriser la résilience aux chocs et aux menaces en Afrique”. Le principal résultat attendu de ce document est “une Afrique intégrée, prospère et pacifique, conduit et géré par ses propres citoyens”. La réunion tente de résoudre le résultat du projet 3; Les pays sont en mesure de réduire la probabilité de conflit et de réduire le risque de catastrophes naturelles, y compris le changement climatique.
PNUD a donné un bref des résultats de l’évaluation, sa nouvelle structure, son programme prévu et les défis auxquels ils sont confrontés. L’idée derrière la retraite était de voir comment ils pourraient mettre en œuvre ces changements, compte tenu de leur partenaires entrée dans leur façon d’avancer, et de marcher ensemble pour un plus grand impact. Pour moi, ce est une façon très impressionnante de travail et peut également être une tâche intimidante pour eux. Ils se demandaient ce qui a fonctionné, ce qui n’a pas fonctionné et les leçons apprises par les partenaires. Cela a été longuement délibéré et il est intéressant de noter que les partenaires ne ont pas contesté les modifications qui ont été faites. Qu’est-ce qu’ils se demandaient, et ont porté sur plus, était la façon de travailler, et les relations.
Toutes les différentes discussions qui ont eu lieu ont délibéré sur ce partenariat entend, le type de partenariat, les attentes et la formalisation de la relation. L’accent était mis sur les relations égalitaires et respectueuses.
Je suis sorti avec l’apprentissage qui ne est pas ce que nous faisons ce est le plus important, mais le comment (processus) et en particulier les relations. La réalisation de ne pas être capable de faire beaucoup sur votre propre et besoin des autres pour atteindre votre objectif a été compris par la plupart depuis longtemps maintenant. Qu’en travaillant ensemble, nous pouvons faire plus que la somme de nos activités a également été réalisé. Cependant l’équilibre de la relation telle que le respect mutuel et authentique donner et prendre lors de l’engagement ne est toujours pas bien comprise et acceptée par beaucoup. Si nous sommes en mesure d’équilibrer notre relation alors ce que nous faisons et le résultat devient plus riche.
Le fait que le Centre de services du PNUD était prêt à discuter avec ses partenaires et à travailler ensemble pour trouver une façon d’avancer est de me significative.
Le fait qu’ils se penchent sur ‘le radicalisme »et non le« terrorisme »a été pour moi aussi une idée plus réaliste, rafraîchissant et accueillant.
Le fait qu’ils ne étaient pas là pour financer des projets seulement, mais pour aider à tester de nouvelles initiatives et des façons de faire a également été une formule gagnante.